Le Sénat en partenariat avec Inria a organisé le 11 février dernier au Palais du Luxembourg une journée de rencontres avec une vingtaine d’équipes de recherche de l’Institut dont cinq de notre centre.
L’objectif était de présenter aux Sénateurs neuf thèmes de recherche accompagnés de démonstrations. Voici en quelques les lignes les présentations des équipes AIRSEA, BEAGLE, DICE, PRIVATICS et URBANET.
- Équipe AIRSEA – Eric Blayo
Mieux comprendre et prévoir les changements climatiques : le numérique au service du GIEC
Contrairement à la plupart des autres domaines scientifiques, on ne peut pas réaliser d’expérimentations sur le climat de la Terre. La simulation numérique est donc la seule façon d’étudier et d’anticiper les futurs changements climatiques, aux échelles globale et régionale.
- Équipe BEAGLE – Guillaume Beslon
L’effet des médicamentsL’équipe Beagle a présenté un prototype de jeu sérieux destiné à enseigner comment un usage mal adapté des antibiotiques conduit à l’émergence de résistances de plus en plus complexes à contrer.
- Équipe PRIVATICS – Mathieu Cunche
Le wifi, les traces numériques et la vie privée
Grâce à une visualisation en temps réel des informations diffusées par les terminaux mobiles, l’atelier montre comment la technologie wifi menace la vie privée.
- Les traces numériques de nos smartphones et la vie privée – Vincent Roca
De nombreux acteurs économiques, en particulier dans le domaine de la publicité en ligne, collectent des données personnelles à l’insu des utilisateurs. Le projet Mobilitics analyse ces pratiques.
- Équipe DICE – Stéphane Grumbach
Des données aux plateformes d’intermédiation : une disruption en profondeur
L’équipe Dice étudie pourquoi et comment les grands opérateurs numérique comme Google et Facebook changent nos vies, nos organisations économiques, et bouleversent les équilibres politiques et géopolitiques.
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- Équipe URBANET – Hervé Rivano
Pour une ville plus connectée et facile à vivre
La démonstration montrerait comment le déploiement de réseaux de capteurs, toujours plus discrets, autonomes, communicants, rend la ville numérique plus connectée et facilite l’émergence de nouveaux services aux citadins.
V.P
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